Votez!

                                            Il ne reste que trois semaines pour s'inscrire sur les listes électorales! Le 31 décembre il sera trop tard!

   Encore trop de sympathisants de la droite nationale, sociale et populaire, trop de militants de la cause identitaire ou simplement même trop de Français "qui en ont marre" d'être roulés dans la farine par la coterie qui gouverne en alternance depuis 30 ans ne participent pas aux consultations électorales par négligence, par rejet du "système" ou par sentiment d'impuissance.

   Les élections présidentielles et législatives de 2007 seront pourtant cruciales pour le devenir de notre Peuple, de notre Identité et de notre Nation. Tôt ou tard, si nous laissons faire, l'UMPS accordera le droit de vote aux étrangers et nous ne serons plus maîtres chez nous! Il faut convaincre nos compatriotes de réagir pendant qu'il en est encore temps, convaincre nos parents, nos amis, nos camarades de travail, nos voisins d'effectuer les formalités nécessaires* qui leur permettront l'an prochain de voter pour la France et les Français d'abord!

   Avant qu'il ne soit trop tard!                MPD                               *renseignements et formalités à la mairie du lieu de résidence

    

  

       

Mutzinades!

     Il a osé! Une inspiration, une audace et une fulgurance napoléonniennes...comme nous l'avions envisagé sur ce blog, le Préfet de Police Pierre Mutz a dégarni quelques heures le front vascillant des "quartiers" pour faire investir jeudi soir l'esplanade de la gare Montparnasse où une soupe populaire au lard devait être assurée par les bénévoles de "Solidarité des Français"

     C' est que l'affaire était d'importance et justifiait amplement les risques: il fallait coûte que coûte empêcher les ventres-creux de la capitale de se rassasier d'une soupe porcine et alpaguer les monstrueux qui les incitaient ainsi à donner dans l'interdit alimentaire. Las! Mutz a été mal secondé: le commissaire divisionnaire commandant l'escouade s'est fait berner! Les ignobles ont rusé...pas de marmites fumantes sur l'esplanade! Pressentant l'assaut, les bénévoles avaient invité les sans-logis dans un restaurant voisin où, tous ensembles, ils purent à foison se repaître de cochonailles! On imagine la terrible colère mutzienne!

   On peut lire le compte-rendu des évènements sur le site: www.association-sdf.com 

   L'affaire peut prêter à rire. Elle est cependant scandaleusement révélatrice de la chape de plomb qui s'est abattue sur notre pays où l'on prétend imposer la police de l'assiette. Des forces de police importantes, qui auraient été beaucoup plus utiles ailleurs, ont été mobilisées des heures, simplement pour empêcher des miséreux de trouver un peu de réconfort et d'avaler un repas chaud au prétexte qu'il contenait du lard! Nous vivons désormais dans un pays où l'on préfère laisser les sans-abris crever de faim plutôt que de les voir manger du cochon!

   Cela ne durera pas. Un fois de plus, espérons que vienne vite le temps où les gueux de France se rallieront au  " chant de l'alouette qui est oiseau de liberté et à celui du coq claironnant de guerre"!     YD

      

    

Sin le Noble: recaillassage!

   Cette photographie illustre ce qui risque fort d'arriver un jour à Sin le Noble, dans le quartier de la Montée! Le jour où le conducteur d'un autobus caillassé sera touché par une pierre et perdra le contrôle de son véhicule qui s'en ira percuter des habitations ou d'autres véhicules... ou qui ira faucher des passants!

   Mardi dernier, une fois encore un autobus a été pris pour cible, une vitre a volé en éclats blessant une passagère. C'est la troisième fois en un mois qu'un bus est ainsi attaqué dans ce même secteur par des "jeunes" dont certains se contentent de déplorer les "incivilités": un engin incendiaire le 2 novembre, un jet de pierres le 30 novembre et enfin le dernier caillassage en date.

  Depuis le trafic des bus y est interrompu jusqu'à nouvel ordre! Apparemment les forces de police n'ont pas les moyens d'assurer la sécurité sur la ligne et se sont encore les habitants les moins fortunés et les plus vulnérables du quartier qui se retrouvent dramatiquement isolés. Comme on peut le constater, à Sin le Noble comme ailleurs dans le douaisis ou dans le Hainaut, l'insécurité ne faiblit pas et visiblement les gesticulations du présidentiable Sarkärcher n'impressionnent pas la racaille locale! Pour que l'ordre règne et que la peur change de trottoir... Le Pen vite, très vite!             MPD

   

     

Mutzerie!

   Le très arrogant Pierre Mutz, Préfet de Police de Paris, qui n'a sans doute rien de mieux à faire, a décidé au dernier moment d' interdire à l' Association "Solidarité des Français" de procéder à la distribution d'une soupe populaire prévue ce soir à 20h00 sur l'esplanade de la gare Montparnasse au prétexte que cette soupe " contient du lard ce qui est implicitement discriminatoire".

   En tant que Préfet de Police de Paris, Mutz est aussi Préfet chargé de l'administration de la police dans les départements des Hauts de Seine, du Val de Marne et de la Seine St-Denis ( le fameux 9/3)...où l'ordre règne comme on peut le constater tous les jours. Mutz est aussi responsable du haut commandement unique de la sécurité dans les transports ferrés d'Ile de France...que les franciliens peuvent emprunter quotidiennement sans aucun risque comme chacun le sait! Mutz a par ailleurs encore d'autres attributions et responsabilités fort prenantes. Mutz a fort à faire...et il lui reste du temps et de l'énergie pour s'intéresser aux ingrédients des soupes populaires. Cet homme est remarquable.

   En attendant, les militants de "Solidarité des Français" sont bien décidés à apporter quand même le réconfort promis aux miséreux de la capitale qui contrairement à certains, fonctionnairement nantis, n'ont pas le repas chaud assuré tous les jours. Par solidarité, par sympathie ou simplement par curiosité, celles et ceux qui le peuvent pourront toujours venir au rendez-vous fixé ce soir par les bénévoles de SDF...juste pour voir si Mutz osera dégarnir le front du 9/3 pour lancer une offensive sur la Gare Montparnasse!

   A suivre...   YD    

  

2 décembre 1805: la gloire d'Austerlitz!

  Soldats, je suis content de vous!

  Vous avez à la journée d'Austerlitz, justifié tout ce que j'attendais de votre intrépidité; vous avez décoré vos aigles d'une immortelle gloire!

   Une armée de 100.000 hommes, commandée par les empereurs de Russie et d'Autriche, a été, en moins de 4 heures, ou coupée ou dispersée. Ce qui a échappé à votre fer s'est noyé dans les lacs. 40 drapeaux, les étendards de la garde impériale de Russie, 120 pièces de canons, 20 généraux, plus de 30.000 prisonniers, rendent le résultat de cette journée à jamais célèbre. Cette infanterie tant vantée, et en nombre supérieur, n'a pu résister à votre choc, et désormais vous n'avez plus de rivaux à redouter. La paix ne peut plus être éloignée; mais comme je le promis à mon Peuple avant de passer le Rhin, je ne ferai qu'une paix qui nous donne des garanties et assure des récompenses à nos Alliés.

Soldats, lorsque le Peuple Français plaça sur ma tête la couronne impériale, je me confiai à vous pour la maintenir toujours dans ce haut éclat de gloire qui seul pouvait lui donner du prix à mes yeux. Mais dans le même moment nos ennemis pensaient à la détruire et l'avilir! Et cette couronne de fer, conquise par le sang de tant de Français, ils voulaient m'obliger à la placer sur la tête de nos plus cruels ennemis! Projets téméraires et insensés que, le jour même de l'anniversaire du couronnement de votre Empereur, vous avez anéantis et confondus! Vous leurs avez appris qu'il est plus facile de nous braver et de nous menacer que de nous vaincre.

Soldats, lorsque tout ce qui est nécessaire pour assurer le bonheur et la prospérité de notre Patrie sera accompli, je vous ramenerai en France: là, vous serez l'objet de mes plus tendres sollicitudes. Mon Peuple vous reverra avec joie et il vous suffire de dire " j'étais à Austerlitz " pour que l'on réponde " voilà un brave" !     Napoléon

Déclaration faite à Austerlitz, le 12 frimaire an XIV ( 3 décembre 1805 ) au lendemain de la bataille.